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Keyword : stage raku

L'atelier de création céramique

 

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L’atelier de création céramique, crée en 1980, a une activité de formation professionnelle depuis plus de vingt cinq ans. Il se situe à proximité du hameau de La Borne (commune d’Henrichemont, Cher) village de tradition potière et haut lieu de la création céramique contemporaine.

Je propose quelques stages intensifs d’été, d’une durée de 45 heures sur 6 jours, avec production de  céramiques par les stagiaires. Matériels, matières premières  et fiches pédagogiques fournies.

 

 

 

 

 

  • du premier au 6 juillet 2024

 

Terres craquelées polies et enfumées, terre humide sur terre sèche

modelage - polissage - terres jetées et craquelées - craquelage: terre humide sur terre sèche - cuissons - estampage d’une coupe, enfumage contrôlé dans de la sciure - visite de sites d’intérêt céramique de La Borne: CCCLB et Musée, fours à bois - terres sigillées (généralités) - fiches sur les techniques étudiées.

 

  • Du 16 au 22 septembre 2024

Modelage “Terre-bulle”, terres craquelées et jetées,

engobes, terres sigillées (généralités), polissage au galet, cuissons, raku-sable, enfumage sciure/fosse .

 

ATELIER DE CREATION CERAMIQUE
lieu-dit: Ruelle
7 rue de la Rouinerie
18220 AUBINGES
Tel: 06 98 05 06 43

 


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Vue de l’atelier de formation

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Emmanuel Buchet

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Tournage

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Sites d'interêt céramique, matériaux, fournitures, produits, ...

  • Fournitures de fibres nylon:

http://www.baumhueter-france.fr/57/PRODUITS/PB_EUROFIBRES.html

http://www.francebeton.com/fibres_polypropylenes.htm

http://atelceram.free.fr/sitep6.html

  • Liège en vrac:

http://materiaux-ecologiques.kenzai.fr/26-isolation-liege-naturelle

  • Masques anti fumée:

http://www.dumont-securite.fr/masque-integral-advantage-3100-2906.html

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Les jus colorés

Le “jus” est un mélange d’émail et de terre, il est  utilisé liquide en mono cuisson fine pour “fermer la terre”, de limiter sa porosité. Un ajout de colorant céramique donne une couleur à ce jus. L’enfumage peut-être complet ou partiel. Il se pose sur terre sèche, nettoyée à l’éponge humide pour une bonne adhérence.

FORMULE pour une cuisson à 1000°

C1254……60 (Céradel, cet émail fond à 900°)

Ball clay…. 35

colorants….5

Ce mélange peut aussi être utilisé à sec comme engobe de craquelage, les craquelages  seront enfumés, les parties engobées seront de la couleur désirée , pas ou peu enfumées. Donc effet de contraste noir/couleur.

Videos Presse

  • BIP TV Henrichemont, Le Centre de Création Céramique de La Borne, le Four Talbot:

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Paroles

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PRESENCE de la NATURE
              
Recueillir des « petits fragments de nature » d’origines végétale, animale, ou minérale, est une activité familière. Ces petits  objets  encombrent peut-être encore nos étagères et remplissent nos boîtes à secrets.
Ces coquillages, morceaux de bois, galets polis par l’océan, fossiles,…comme autant de  témoignages de vies figées, touchent intimement notre sensibilité et résonnent en nous par leurs formes, leurs couleurs et leurs douceurs au  toucher quand ils sont polis par le temps.
Le premier regard porté sur ces objets est libre de toute approche conceptuelle, l’on perçoit alors sans le découpage méthodique de l’intellect qui évalue, compare, et classe les perceptions; cette « non-relation » est sans référence à la mémoire, au connu. Nous sommes alors le témoin silencieux de cette intimité  qui s’offre à nous avec bonheur et émotion, tel un  “nous-même” retrouvé dans un instant hors du temps.
Puis notre agitation dissimule ce ressenti initial pour laisser place au discours intérieur avec parfois comme un parfum de manque et de nostalgie.
C’est cette nostalgie qui m’invite à façonner  ces objets de terres, d’eau et de feu qui conjuguent et fossilisent la magie du vivant, comme autant d’invitations pour un autre regard, pour une vision de la vie que nous partageons tous et que, souvent, nous oublions.

Dominique Legros



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Le toucher de l’impalpable

De la terre, de l’eau, de l’air, du feu, avec ces quatre éléments Dominique Legros expérimente inlassablement les multiples états de l’argile. De sa plasticité jusqu’au séchage, il provoque des réseaux de craquelage en alternant des couches de grès, de porcelaines teintées d’oxydes qu’il polit après cuissons, à diverses températures selon les résultats souhaités. Enfumage, abrasion avec des disques diamantés révèlent les  fissures, les failles de ce mille-feuille géologique. Toute une alchimie de recherche pour retrouver la sensation première à la naissance: le toucher. Lorsque le cerveau ne pense pas, mais perçoit, lorsque la peau n’est qu’un territoire de sensations tactiles.
Un modelage bien personnel d’une terre qu’il a mise au point lui permet l’obtention de surfaces craquelées, fissurées. L’attention  nécessaire aux différentes phases de polissage libère son mental de pensées parasites, le met dans un état méditatif, présent à chaque geste.
Certaines formes peuvent suggérer le végétal, le minéral; d’autres plus géométriques aux lignes tendues ne sont qu’au service de la terre. Ces  œuvres, au-delà de la perception visuelle, déclenchent le désir de toucher pour ressentir  à la pulpe des doigts l’énergie subtile de la vie, invisible comme le parfum d’une rose.
 L’énigmatique douceur abrase toute velléité agressive. Nombre d’oeuvres d’art engagent la vue, l’ouïe; d’autres domaines attisent le goût, l’odorat; mais ici c’est bien le toucher qui est sublimé, mis avant la pensée. La douceur résultante donne une présence mystérieuse à ces pièces. Cette émanation de silence anesthésie tout concept, fait taire toute turpitude mentale et s’associe à la pensée de H.E Fosdick.
” Je préfère vivre dans le vaste monde entouré de mystères plutôt que dans un autre tellement petit que mon esprit pourrait comprendre”
L’irradiation de ce palimpseste de sédimentations successives nous saisit, nous invite à poser une main curieuse, à rétablir le contact. Une dégustation à l’aveugle d’un vagabondage en douceur, juste avec les doigts, où il faut regarder avec la main, libre d’un savoir enregistré.
Dominique Legros valorise le sens tactile; il nous positionne dans l’intervalle insaisissable avant l’émergence de la pensée. Etre simplement dans l’instant sans mémoire, sans projection vers le futur, comme devant un coucher de soleil ou le flamboiement des couleurs automnales. Cette oeuvre ultra sensible rayonne d’elle-même simplement et clairement; pas besoin de concept abscons , ici nous sommes à la rencontre du percept poétique vivant. Une cueillette de toucher qui nous régénère comme un coin de mousse en forêt. Cette contemplation va au-delà d’un simple réconfort passager. En polissant, ponçant ses volumes, Dominique Legros décape nos strates de pensées confuses.
Ici prière de toucher, presqu’un ordre! Que vos yeux soient ouverts ou fermés, un voyage sans mot commence, pour la traversée d’un territoire sans pensée, telle une caresse à la vie: le toucher de l’impalpable.
La poésie de la terre est ineffable. La terre raconte tout de nous, de nos états intérieurs, de nos ambitions, de nos faiblesses, de nos duretés, de nos douceurs. Dominique a compris cela: tout vient d’elle et retourne en elle.

 

 Bernard David

 



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QUELQUES PAROLES DE JEAN KLEIN…


Percevoir

“Percevoir n’est pas une fonction. C’est pourquoi ce qui est perçu conduit tout droit à ce qui perçoit. La conscience perçoit. Vous ne pouvez percevoir ce qui perçoit, car cela même vous l’êtes.”

“L’artiste explore l’objet. Il met l’accent sur l’objet. L’objet est passif, la vision de l’artiste est active, extravertie. Chercher la vérité, c’est mettre l’accent sur la vision, sur l’ouverture. L’artiste n’explore pas l’objet en tant que tel, il s’en sert uniquement pour s’installer dans la vision. L’objet se révèle dans l’attention, il nous ramène à l’attention. L’artiste est momentanément réceptif, mais il est tendu vers un but. Il cherche quelque chose et quand il le trouve, il le garde. Celui qui cherche la vérité ne se trouve que dans le regard.”

“Pour parvenir à une expérience esthétique, nous devons être totalement réceptif, disponible, libre de toute mémoire, pour être ouvert au jeu des couleurs, des sons, des rythmes et des formes. Cette ouverture du regard est la lumière qui sous-tend toutes les sensations et, tôt ou tard, nous nous trouverons consciemment dans cette lumière. Regarder une oeuvre d’art de cette façon est réellement créateur. Il n’y a pas d’analyse dans le regard. Chaque fois que nous en sommes frappés, nous sommes ramenés à notre véritable nature.”

Jean Klein

“La conscience et le monde”
Éditions Accarias-L’Originel, traduction d’Alain Porte





L’écoute et l’attention

“La découverte de votre nature réelle ne peut se réaliser par la mémoire. Elle arrive par l’attention multidimensionnelle qui a lieu naturellement lorsque la mémoire est absente. Cette attention innée est écoute. Lorsque vous êtes dans l’écoute, vous vous sentez dans la vastitude, dans l’immensité où il n’y a personne qui écoute ou qui regarde. Dans l’écoute seule.”

“L’écoute est une ouverture à la vie, sans référence au déjà connu. La découverte réelle ne survient que dans l’instant immédiat. Nous ne pouvons jamais comprendre l’inconnu à travers le connu”

“L’écoute n’est pas un processus cérébral. Ce n’est pas une fonction. C’est une sensibilité ouverte, libre de toute anticipation, accomplissement ou réussite. Ce n’est pas une attitude que l’on assume, pas plus qu’elle n’est confinée aux oreilles, de même que lorsque vous comprenez quelque chose et que vous dites “je vois”, cela n’a rien avoir avec les organes de la vue…… Vos cinq sens, votre intelligence et votre imagination sont libérés et entrent en jeu. Vous les ressentez comme étant totalement dilatés dans l’espace, sans centre ou périphérie. L’ego qui est une contraction ne peut trouver prise dans cette présence, et l’anxiété, la sympathie ou l’antipathie se dissolvent. Vous sentez cette totalité sans la sentir. Vous la sentez mais vous ne pouvez la catégoriser dans aucun sentiment connu. Les organes des sens ne sont pas les indicateurs de la conscience globale. Mais en général, ils s’approprient l’objet apparent et l’empêchent de se déployer dans votre plénitude. Essayer de regarder et d’entendre sans vous centrer sue des objets spécifiques. Laisser votre oui-e et votre vue trouver leur multidimension organique.”

“En général la fonction mentale domine nos sens, notre perception. Pour que l’écoute globale, qui est notre état organique, se produise, cette domination doit cesser. Dans la tranquillité, le mental fonctionne, prenant sa place avec le reste des fonctions corporelles, mais son fonctionnement ne se réfère plus à un centre. Il perçoit et nomme seulement. Un mental qui est simplement en mouvement n’est pas un problème. Au contraire, lorsque l’intellect est fondé sur le silence, tout de réfère spontanément à cette base. Vous voyez une rose. L’intellect la perçoit et la nomme. Fonctionnement parfait. Mais ensuite il continue et commence à interférer avec la perception, l’empêchant de se déployer dans la perception directe. La personne imaginaire, le centre des points de vue voit la couleur et la compare, ou l’aime, ne l’aime pas, peut-être. Elle pense à sa beauté ou se souvient à quelques référence passée. Mais durant cette activité où est le parfum réel de la rose?
L’activité psychologique est fractionnelle et successive. Il ne peut y avoir qu’un percept et un concept à la fois, donc il est impossible de ressentir la totalité de la rose à l’aide du fonctionnement mental de tous les jours. Vous ne pouvez qu’additionner ses partie. Mais le véritable parfum de la rose, ce qu’elle est réellement, n’est pas dans une collection de fractions. Lorsque vous prenez du recul par rapport à l’accentuation des parties, lorsque le mental devient tranquille, la rose est en vous. Vous êtes un.”

“L’attention est une expression de cette tranquillité qui est votre être naturel”.


Jean KLEIN

Qui suis-je? La quête sacrée

édition:”Le relié”
traduction Agnès Lowy
 

 

 

 

 

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Histoire de La Borne (rédigée en anglais)

Thèse de Mr Patrick McCoy

La revue de la céramique et du verre, CCCLB, fevrier 2012

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La revue de la céramique et du verre, CCCLB, 3/2012

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Un bel article sur le Centre Céramique Contemporaine de La Borne, cliquez sur les pages suivantes:

 


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Une petite liste pour aménager son petit coin d’atelier !

Quelques informations pour mettre en place un atelier de céramique économique.

Les fournisseurs de matériel céramique sont:

Il est nécessaire de s’informer auprès des vendeurs de la dangerosité des produits achetés, être vigilant avec le plomb et le caldium, colorant rouge vif particulièrement toxique

Dans les colorants céramique il y a de nombreux métaux lourds

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Nouveaux émaux raku

Quelques recettes

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Préparation de la terre

Voici la façon la plus économique pour préparer les argiles

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Jean Linard

AppleMark

Jean Linard

La Cathédrale - 18250 Neuvy-Deux-Clochers

Tél : 02 48 26 73 87

Technique : Sculptures, peintures et céramiques

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Seung Ho Yang

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Seung-Ho Yang

Le Bury d’en Bas - 18250 Montigny
Tél : 02 48 69 54 01

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Les stèles murales

Les “stèles murales” présentées ci-dessous sont réalisées en utilisant une technique de fabrication particulière, mise au point dans mon atelier, qui leur donne à la fois légèreté et solidité.

 Ces céramiques murales se caractérisent par leur extrême finesse et donc elles peuvent facilement être fixées, de part leurs faibles poids, sur toutes les types de murs ou de cloisons. Il y a en outre au dos de chaque pièce trois points d’accroche pour une fixation plus aisée.

Le “craquelage” est obtenu en posant une terre humide sur une fine couche de terre  ayant séchée totalement. La terre, en perdant son eau entre en tension avec la terre support et se fissure en surface selon un graphisme préalablement dessiné. Des cuissons oxydo-réductrices dévellopent les différentes couleurs des oxydes métalliques mélangés à la terre de recouvrement. Cette approche technique est très délicate et demande une longue mise en oeuvre.

Photos: Dominique Legros

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Le Musée de la Poterie

situé dans l’ancienne chapelle du village propose une exposition permanente de pièces exceptionnelles, des expositions temporaires à thème, des vidéos, cartes postales, catalogues.

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Les terres enfumées noires

La mise en forme de mes objets céramiques suit une progression naturelle. Je définis tout d’abord la forme générale avec une terre très légère de ma fabrication puis, après un séchage partiel, je la recouvre d’une couche de terre raku très solide en précisant la forme. Evidage de la pièce puis séchage complet.
    Le craquelage est obtenu en recouvrant la céramique, après l’avoir longuement grattée et ré humidifiée, d’une fine couche d’argile colorée sur toute la surface de la pièce, puis je procède au polissage avec une agathe, cette opération minutieuse est longue et très délicate.
    Après un deuxième séchage complet, la pièce est cuite à 900 / 1000°, puis retirée du four à la main à cette température, et déposée- rouge - sur un lit de sciure sèche pour être enfumée. 

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Terres craquelées

Terres craquelées et polies

Cette technique originale est difficile à mettre en œuvre puisqu’elle consiste à recouvrir une terre sèche avec une autre, humide, et de la polir manuellement avant qu’elle ne craquelle.

Le modelage de la forme est réalisé avec une terre structurante de type «raku» épaisse et très solide en tenant compte de l’épaisseur de la couche de terre  qui la recouvrira.
 Elle est en quelle sorte le squelette et le support de la forme finale.
 Après un séchage complet de la céramique, celle-ci est réhumifiée abondamment, puis recouverte d’une fine couche de terre colorée dans la masse avec des oxydes métalliques pour leur donner une coloration. De nombreux polissages réalisés en suivant le séchage de l’argile avec une pierre dure, une agathe de préférence, densifie la terre en lui apportant une belle brillance. Un brûlage à la flamme vive permet de révéler le craquelage de la terre et met la céramique en tension.
  Après une lente cuisson au four à gaz je retire la pièce incandescente du four rougeoyant et je procède à un enfumage de la terre en posant celle-ci sur un lit de sciure et en la recouvrant partiellement avec cette même sciure pour faire apparaître des variations de couleur.
  Après un nettoyage méticuleux je cire légèrement à chaud la céramique avec une cire d’abeille naturelle pour lui donner plus de douceur.
   

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Le terres polies et raku-nu



Modelage d’une forme qui est ensuite, suivant son degrés de séchage lissée à la main puis polie en trois passages successifs avec une agathe, pierre très dure. Ce travail est long et demande beaucoup d’application, il consiste à «serrer» la terre sans la rayer par de nombreux passages, ce qui la densifit et lui donne une plus grande solidité. La terre ainsi travaillée devient brillante, sa forme est beaucoup plus précise. La texture  de la céramique acquière ainsi une tension de surface très forte qui lui donne une grande beauté.

Cuisson lente de la céramique à 1000°.

 Le « raku-nu » :

Cette technique céramique est double :


- Dans un premier temps je réalise une  terre polie selon le procédé ci-dessus expliqué que le cuit également à 1000 °.
- Dans un deuxième temps, après avoir posé une fine couche de terre réfractaire sur la céramique pour la protéger, je la recouvre d’un émail « raku », c’est à dire d’un émail qui craquelle à la cuisson. Deuxième cuisson à 1000°, puis enfumage dans un bac de sciure de cette pièce qui est sortie incandescente du four. Refroidissement. Après  un délicat nettoyage de la céramique le graphisme du craquelage de l’émail apparait enfumé sur la céramique polie.

Photos; Dominique Legros

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